Le Prix Pierre Benoît pour Corinne Zarzavatdjian

Lundi 24 juin, en l’Hôtel particulier des Gueules Cassées, devant un parterre prestigieux du monde littéraire et l’ambassadrice d’Arménie en France S.E Hasmik Tolmajian, plusieurs prix ont été décernés, dont le Prix Pierre Benoît attribué à Corinne Zarzavatdjian pour son ouvrage « Rose de Diarbekir. Un prix remis par Jean Orizet, président de l’Association des écrivains combattants. Lequel a retracé le destin hors norme de Rose durant le génocide des Arméniens, une histoire de femmes, de courage, de résistance, une page de l’histoire du peuple arménien, doublée d’une lettre d’amour pour la France. Une fresque familiale au souffle oriental, tragique et généreuse à la fois.1893. À Diarbékir, dans les provinces arméniennes de l’Empire ottoman, la famille Hagopian vit entre tradition et modernité. Alors que les frères aînés partent faire leurs études en Europe, la benjamine, Rose, vibre pour le théâtre et la culture française.

La présentation de la soirée était assurée par l’écrivain et critique littéraire Gérard de Cotanze. Les autres lauréats sont : Patrick Besson, Jean-François Colosimo, Eric Nauleau et Julie d’Andurain & Chochana Boukhobza.

C’est le troisième ouvrage de Corinne Zarzavatdjian, auteure de « Cuisine d’Arménie » (avec son frère Richard ) et « L’Arménie et les Arméniens de A à Z ». Corinne est par ailleurs comédienne et auteure du spectacle « Un nom à coucher dehors » et la mère d’Eurydice dans la pièce de Jean Anouilh.

Jean Eckian + photos